C’est à l’occasion d’une tournée de The Police, en 1979, qu’il reprend ses appareils. Sans formation, l’autodidacte apprend en regardant des milliers d’images : celles d’Henri Cartier-Bresson, de Robert Frank, de Gary Winogrand... Depuis quarante ans et au gré de ses voyages, Andy Summers conjugue ses deux passions, la musique et la photographie, avec la même exigence. La qualité musicale d’une image reste sa seule boussole pour juger la justesse : faire une bonne photographie, c’est comme jouer sans fausse note.